Tailler la matière pour la réduire à l’extrême, révéler les secrets techniques qui ponctuent la course du temps, faire rêver les inconditionnels de mécanique pure…
Proposant à la fois une captivante ouverture sur le mouvement ainsi qu’un parfait alibi à la mise en œuvre de techniques de décoration raffinées, l’art du squelettage est une spécialité apparue au XVIIIe siècle. Tombée en désuétude pendant plusieurs générations avant de réapparaître dans les années 1930, cette technique, que l’on qualifie souvent d’art tant elle est délicate, opère un véritable revival depuis quelques années.
Certes, le principe consiste toujours à éliminer le cadran, ajourer la platine, les ponts et coq pour dévoiler le mouvement dans son plus simple appareil, mais le style classique, voire baroque, souvent associé aux montres squelettes n’a plus rien du passage obligé. Le squelette moderne a depuis longtemps fait fi du carcan des canons traditionnels.
Seule limite imposée à ce périlleux exercice, un juste équilibre entre transparence, solidité et fiabilité du mouvement.
Chaque détail compte
Avec ses ponts et sa platine ajourés, ses rouages polis et sa masse oscillante reproduisant la signature Hermès, l’Arceau Squelette en acier propose un bel équilibre entre modernité et classicisme. Son point fort : une vue plongeante sur le paysage mécanique de la montre, dans les moindres détails.
Éloge des temps modernes
Un mouvement squelette assorti de la reine des complications pour Hublot et son Classic Fusion Tourbillon squelette en or King Gold. Son point fort : un caractère racé, robuste, ultra contemporain.
La course du temps au premier plan
La quête de la transparence est une des raisons d’être de la montre Oris Artelier Translucent Skeleton. Son point fort : une excellente lisibilité offerte par le contraste entre le squelette et les aiguilles anthracites.